A l'aube.
Le labour tout fumant
Son regard l'effleurant
La lumière tamisée
Par un brouillard épais
Des longueurs de champs
Où se perdent ses pas nonchalants
Une hirondelle épuisée se pose apeurée
Au bord d'un sillon où dort la rosée
Le vent le frôle,c'est apaisant !
Dans la langueur du silence pesant.