Grand-mère.
Que de dimanches ont passé
Entre tendresse et caresse .
Que de soleils nous ont réchauffés
Sans jamais penser au départ détresse.
Que d'images de bonheur
Et de fleurs qui se baissent
Pour admirer ton courage et ton cœur
Cet amour au fil des années qui se tresse.
Que de chaleur dans mon être
Grâce à toi grand -mére.
Un germe épanouit avant de nâitre
Et tant de sagesse au service de la terre.
De ta bouche sortaient des mots de jeunesse
Qui me plongeaient dans une honteuse vieillesse.
De cet amour qui nous unissait
Tout contre moi ta main reste posée.
Joël."ton petit".